La journée-type de l’intervenant socio-éducatif indépendant !

IL N’Y EN A PAS ! Ou plutôt, il y en a 1000 !

C’est certainement là, l’une des plus grandes richesses de l’intervention éducative en tant qu’indépendant, c’est qu’aucune journée ne se ressemble.

Bien entendu, le professionnel aura des horaires d’intervention fixes et proposera du contenu régulier, inscrit dans le temps. C’est d’autant plus important de pouvoir être régulier et que les séances soient planifiées lorsque l’on accompagne des personnes concernées par les TSA. #besoins spécifiques #planification

Cependant, le professionnel pourra travailler un seul et même objectif dans plusieurs lieux, au travers différentes situations de la vie quotidienne, pour ainsi, répondre au mieux aux besoins de la personne.

L’éducateur spécialisé pourra soutenir un travail sur les habiletés sociales au parc, puis la semaine d’après, à la bibliothèque, mais aussi proposer d’accompagner l’enfant lors des temps de récréation ou même dans son club de sport.
Une éducatrice de jeunes enfants pourra proposer un accompagnement ESDM supervisé au domicile familial à un bambin, puis aller l'observer en interaction dans sa classe de maternelle puis sensibiliser le public d'accueil du centre aéré dans lequel il est accueilli...
Un moniteur éducateur peut soutenir un jeune dans ses besoins de planification au travers l'usage d'une séquence ou d'un planning visuel. Ce dernier pourra ainsi accompagner l'utilisation du planning au domicile mais aussi au collège et dans l'IME dans lequel il va aussi...

Les périodes de vacances scolaires peuvent également être propices à des temps plus conviviaux, de détente, de loisirs tout en permettant d’observer les accompagnements d’un oeil éducatif !

Oui, un éducateur reste toujours éducateur… Chassez le naturel, il revient au galop !

L’intervention éducative en indépendant vous permettra également de coller au maximum à la temporalité de la personne accompagnée.
En adéquation avec la famille/institution, vous pourrez tout à fait laisser une ou deux interventions vacantes pour laisser la personne souffler / se reposer si les besoins sont manifestes. Il en va de même lorsque ces besoins nécessitent un accompagnement plus soutenu où la famille demandera plus d’intervention.

Bref, vous l’aurez compris, les jours passent et (ne) se ressemblent (pas).